Le METI, soutenu par BDO France, membre du METI et du Club ETI d’Ile-de-France, a officiellement remis ce jour à Olivia Grégoire, ministre déléguée auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation, une étude qui identifie, sur la base d’une méthodologie robuste, 1 118 entreprises à fort potentiel de croissance en France.
Ce rapport inédit s'inscrit dans le cadre de la contribution du METI au programme Étincelles, initié par le Gouvernement, visant à faire émerger 1 000 nouvelles entreprises de taille intermédiaire (ETI) d'ici 2027.
L’étude réalisée à partir de l’expertise de BDO France identifie les entreprises à fort potentiel de croissance, susceptibles de bénéficier de certaines mesures publiques à l’instar du programme ETIncelles, Territoires d’Industrie, ou encore France 2030
Les entreprises identifiées pourraient accélérer leur croissance en tirant parti de 3 leviers principaux pour atteindre leur potentiel : le développement des exportations ; la capacité d’innovation ; l’insertion de l’entreprise dans un écosystème et le soutien de l’État.
"Cette étude marque une étape cruciale dans notre compréhension des défis et opportunités des PME et ETI françaises. En tant que membre du METI, nous sommes fiers de contribuer au programme ETIncelles, qui offre une voie concrète pour stimuler la croissance économique et l'innovation au sein de l'écosystème entrepreneurial français. Le constat que la France compte deux fois et demi moins d'ETI que l'Allemagne souligne l'importance de la mise en place de tels dispositifs d’accompagnement pour renforcer le tissu économique national.", Arnaud Naudan, Président de la task force PME de Croissance du METI et Président du directoire de BDO France.
“L’action du METI vise un objectif constant : favoriser la reconstitution d’un tissu d’ETI dense au bénéfice de l’emploi et de la cohésion économique et sociale de nos régions. Le déficit d’ETI françaises par rapport à nos voisins européens est une anomalie majeure qui signe la désindustrialisation et le déficit de notre balance commerciale. Nous sommes convaincus qu’il n’y pas de fatalité. Entre 2008 et 2020, le la France est passée de 4600 à 6 200 ETI. Avec une politique économique adaptée, notre pays sait faire grandir ses entreprises. C’est une bonne nouvelle pour notre économie et notre industrie. Le programme ETIncelles y contribuera assurément. L’étude publiée aujourd’hui, qui identifie de manière clinique les pépites de demain, prouve que nous en avons encore sous le pied !” Alexandre Montay, délégué général du METI.