Jean-Thomas Schmitt (Heppner): «La suppression de l’ISF fait du bien à l’investissement»
« Le simple fait d’évoquer un possible retour en arrière abîme les effets bénéfiques de la réforme », déplore le patron de l’entreprise familiale de transport
Jean-Thomas Schmitt dirige Heppner. Ce groupe de transport compte 3 100 collaborateurs dans cinq pays et réalise 715 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Quelle était la situation d’Heppner avant la réforme de l’ISF ?
Nous étions confrontés aux mêmes problèmes que la quasi-totalité des entreprises familiales. Les actionnaires familiaux, dès lors qu’ils n’étaient pas dirigeants, avaient à subir l’impôt sur la fortune. Une situation compliquée qui peut créer des frustrations dans les familles, voire des ruptures. Si vous ne traitez pas ces problèmes, certains actionnaires peuvent exiger de vendre tout ou partie de leur capital, voire de l’ensemble de l’entreprise…lire la suite
Publie par L’Opinion le 2 octobre 2019