[L’Usine Nouvelle] Recruter, digitaliser leurs activités… Les défis des entreprises de taille intermédiaire de la santé

Championnes méconnues des marchés B to B de la santé, les entreprises françaises de taille intermédiaire ne manquent pas d’idées pour croître et innover. Mais elles peinent encore à se faire connaître du grand public et des jeunes diplômés.

Vous ne connaissez sans doute pas leurs noms, et pourtant vous utilisez leurs produits dès que vous allez chez le dentiste, à l’hôpital, voire au quotidien… Tels ceux de Septodont, numéro un de l’anesthésie dentaire, ou les bas de contention d’Innothera, spécialiste de la contention veineuse. Ces sociétés font partie des entreprises de taille intermédiaire (entre 250 salariés et 5 000 salariés, ou entre 50 millions et 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires) françaises de la santé. Moins connues qu’un géant de la pharmacie tel Sanofi, ou que des start-up comme Withings ou Doctolib.

Conquérantes, en croissance, souvent leader sur leurs marchés (de niche), ces entreprises illustrent bien la capacité de la France à innover dans le secteur de la santé. Boris Imbert, associé fondateur du cabinet Mawenzi Partners, a dressé le portrait chinois de ces ETI en santé à l’occasion d’une conférence qui leur était dédiée jeudi 31 octobre, organisée par le pôle de compétitivité francilien Medicen, avec le METI, Destination ETI et la région Ile-de-France, et animée par L’Usine Nouvelle….lire la suite

Publie par L’Usine Nouvelle  le 4 novembre 2019