Alors que les élections européennes viennent de se dérouler, les attentes économiques et fiscales des entreprises françaises sont fortes au niveau communautaire. Dans ce contexte, le processus de désignation du futur président de la Commission européenne, qui sera en charge d’élaborer les futurs textes réglementaires, sera suivi de près.
Il y a huit jours, la liste du Rassemblement national remportait le scrutin français des élections européennes, devançant de peu la République en Marche (23,31 % contre 22,41 %). Si le score du parti d’extrême droite ne faiblit pas depuis l’élection présidentielle de 2017, il n’inquiète pourtant pas les entreprises. «Le résultat politique des élections européennes passe au second plan, constate le Medef. Le Parlement européen n’est pas initiateur des lois, il les vote. C’est la Commission européenne qui propose les textes. C’est donc plutôt de son côté que nous plaçons nos espoirs.»…lire la suite
Publie par l’Option Finance le 3 juin 2019